Le livre raconte l’apprentissage en esclavage – il ne s’agit pas de soumission – d’une jeune femme. Les deux fins ajoutées postérieurement sont terriblement noires, mais à mon avis rendent bien compte de la réalité qui s’offre aux femmes tentées par l’expérience.
Pour ma mémoire, je note ici qu’une des scènes du roman est empruntée à la vie d’une femme proche des surréalistes, Leonor Fini.
2 commentaires:
Il existe d'ailleurs une édition d'histoire d'O illustrée par Leonor Fini
Merci pour cet apport.
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