C'est un des grands jeux dans ces univers parallèles. Deux avatars se lient par un contrat explicite par lequel un des deux se soumet à la volonté de l'autre. Généralement, ce rapport s'exprime quasi exclusivement dans des simulations plus ou moins extrêmes de rapports sexuels. J'y reviendrai.
L'un des gros avantages de SL par rapport aux autres univers est de proposer à ses habitants des moyens de contrôle très étendus par voie d'objets scriptés. Il y a plusieurs marques, mes préférences vont à Amethyst pour sa stabilité et sa facilité d'emploi.
Mais l'avantage technologique ne semble pas avoir modifié la manière dont la situation est simulée par les joueurs. De fait, c'est souvent le soi-disant soumis qui dirige la relation. Il ou elle manipule le soi-disant dominant pour induire les comportements qui l'amènent à la satisfaction de ses désirs. L'exemple le plus manifeste est la demande de punition. Alors que le but exprimé du soi-disant soumis est de satisfaire le soi-disant dominant, il va lui désobéir de manière à provoquer une punition, dans le but de satisfaire ses désirs masochistes. Le soi-disant dominant n'est plus alors qu'une poupée dont la seule satisfaction est d'exhiber un avatar qu'il prétend contrôler. Il est d'ailleurs surprenant que la plupart des spectateurs de cette situation prennent encore cette apparence de soumission pour une réalité et applaudissent le couple pour la qualité de leur relation. Mais bon, il s'agit peut-être là d'un simple comportement social.
Les protagonistes sont couverts de signes qui affirment leur orientation - soit dominant soit soumis. Les relations sont codées, et l'obéissance à ces codes est surveillée attentivement par l'ensemble de la collectivité. Les codes sont aussi contraignants pour les soi-disant dominants qu'ils le sont pour les soi-disant soumis. Il y a deux moyens d'échapper à ces codes contraignants. Soit rester en marge de la collectivité, soit créer un avatar par rôle. J'ai choisi cette seconde solution.
Les relations s'affirment principalement par la simulation de rapports sexuels. C'est le coté qui me frustre le plus. Etre une dominante ou une soumise est une attitude globale. J'en parlais à un ami qui me disait, dans un langage nettement plus imagé que le mien, que la plupart des participants ne recherchaient qu'une satisfaction sexuelle immédiate. Il ne serait donc pas question de relation, mais d'un jeu de miroirs où un individu se sert de l'autre pour alimenter sa propre libido.
L'un des gros avantages de SL par rapport aux autres univers est de proposer à ses habitants des moyens de contrôle très étendus par voie d'objets scriptés. Il y a plusieurs marques, mes préférences vont à Amethyst pour sa stabilité et sa facilité d'emploi.
Mais l'avantage technologique ne semble pas avoir modifié la manière dont la situation est simulée par les joueurs. De fait, c'est souvent le soi-disant soumis qui dirige la relation. Il ou elle manipule le soi-disant dominant pour induire les comportements qui l'amènent à la satisfaction de ses désirs. L'exemple le plus manifeste est la demande de punition. Alors que le but exprimé du soi-disant soumis est de satisfaire le soi-disant dominant, il va lui désobéir de manière à provoquer une punition, dans le but de satisfaire ses désirs masochistes. Le soi-disant dominant n'est plus alors qu'une poupée dont la seule satisfaction est d'exhiber un avatar qu'il prétend contrôler. Il est d'ailleurs surprenant que la plupart des spectateurs de cette situation prennent encore cette apparence de soumission pour une réalité et applaudissent le couple pour la qualité de leur relation. Mais bon, il s'agit peut-être là d'un simple comportement social.
Les protagonistes sont couverts de signes qui affirment leur orientation - soit dominant soit soumis. Les relations sont codées, et l'obéissance à ces codes est surveillée attentivement par l'ensemble de la collectivité. Les codes sont aussi contraignants pour les soi-disant dominants qu'ils le sont pour les soi-disant soumis. Il y a deux moyens d'échapper à ces codes contraignants. Soit rester en marge de la collectivité, soit créer un avatar par rôle. J'ai choisi cette seconde solution.
Les relations s'affirment principalement par la simulation de rapports sexuels. C'est le coté qui me frustre le plus. Etre une dominante ou une soumise est une attitude globale. J'en parlais à un ami qui me disait, dans un langage nettement plus imagé que le mien, que la plupart des participants ne recherchaient qu'une satisfaction sexuelle immédiate. Il ne serait donc pas question de relation, mais d'un jeu de miroirs où un individu se sert de l'autre pour alimenter sa propre libido.
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