Tous les jours, j'ai besoin d'une promenade de santé, à la fin de la journée, après les heures de boulot, les tâches ménagères, la connexion et les conversations, l'entraînement des poneys des autres et du mien ...
Donc je mets mes voiles de soie rose et rouge, je me couvre de bijoux, j'enlève mes lunettes et je mets un collier de soumission. Je recouvre le tout d'un manteau transparent rouge. Et puis je vais me promener dans un village goréen.
Le plus difficile est de rentrer. Souvent les portes sont gardées. Je m'avance, m'agenouille et demande le passage, qui m'est toujours accordé. Parfois on me demande le nom de mon Maître, et j'en invente un. Je sais où il habite, et il m'a donné rendez-vous dans cette ville. Une fois en ville, je m'agenouille devant chaque personne libre, je le laisse passer et je réponds honnêtement à ses questions. Les hommes généralement se contentent de mes explications, certains flirtent un peu, mais n'insistent pas devant mon attitude réservée. Un seul a exigé les services auquel il a droit et les a obtenu. Les femmes libres sont plus dangereuses que les hommes. Elles remarquent les petits détails de la tenue et de l'attitude et sont plus rigoureuses. Une d'elles m'a fait enlever mon manteau, m'a envoyée à la taverne locale pour danser devant son compagnon, et est venue vérifier si j'obéissais. Son compagnon n’a pas eu l’air de remarquer ma présence.
Une fois, à Port Kar, un problème de latence m'a fait couper le chemin d'un notable et de sa cour, je ne les avais même pas vus. J'ai continué ma promenade, ils m'ont rattrapée, placée dans un gibet et sérieusement punie. Notez qu'une fois de plus, c'était une femme libre qui était l'instigatrice de la scène.
Vu le relâchement général des hommes goréens, mes expéditions ne sont pas vraiment différentes d'une visite touristique. Ma volonté d'en assumer les conséquences les rend excitantes, mais je suppose que je m'en lasserai. Un ami m'a recommandé d'abandonner le collier, mais cela entraînerait un asservissement rapide. Ce n'est pas mon but. Mon but est de me placer dans des situations difficiles, exigeantes et je l'espère réalistes, et d'en tirer une belle scène pour tous les participants.
Donc je mets mes voiles de soie rose et rouge, je me couvre de bijoux, j'enlève mes lunettes et je mets un collier de soumission. Je recouvre le tout d'un manteau transparent rouge. Et puis je vais me promener dans un village goréen.
Le plus difficile est de rentrer. Souvent les portes sont gardées. Je m'avance, m'agenouille et demande le passage, qui m'est toujours accordé. Parfois on me demande le nom de mon Maître, et j'en invente un. Je sais où il habite, et il m'a donné rendez-vous dans cette ville. Une fois en ville, je m'agenouille devant chaque personne libre, je le laisse passer et je réponds honnêtement à ses questions. Les hommes généralement se contentent de mes explications, certains flirtent un peu, mais n'insistent pas devant mon attitude réservée. Un seul a exigé les services auquel il a droit et les a obtenu. Les femmes libres sont plus dangereuses que les hommes. Elles remarquent les petits détails de la tenue et de l'attitude et sont plus rigoureuses. Une d'elles m'a fait enlever mon manteau, m'a envoyée à la taverne locale pour danser devant son compagnon, et est venue vérifier si j'obéissais. Son compagnon n’a pas eu l’air de remarquer ma présence.
Une fois, à Port Kar, un problème de latence m'a fait couper le chemin d'un notable et de sa cour, je ne les avais même pas vus. J'ai continué ma promenade, ils m'ont rattrapée, placée dans un gibet et sérieusement punie. Notez qu'une fois de plus, c'était une femme libre qui était l'instigatrice de la scène.
Vu le relâchement général des hommes goréens, mes expéditions ne sont pas vraiment différentes d'une visite touristique. Ma volonté d'en assumer les conséquences les rend excitantes, mais je suppose que je m'en lasserai. Un ami m'a recommandé d'abandonner le collier, mais cela entraînerait un asservissement rapide. Ce n'est pas mon but. Mon but est de me placer dans des situations difficiles, exigeantes et je l'espère réalistes, et d'en tirer une belle scène pour tous les participants.
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