A l'occasion du trentième anniversaire de la disparition de Maria Callas dans la solitude de son appartement parisien, Arte diffusait une évocation de sa vie. Sa relation avec sa mère, l'apprentissage de son art, son mari et agent dont je ne me rappelle pas le nom, et puis l'amour avec Onassis. Et en passant, Visconti, Pasolini, et beaucoup d'autres. Mais surtout la voix qui vous pénètre en dessous de la peau et dont les tonalités voyagent dans votre corps et vous touchent à l'endroit que vous attendiez le moins. Le sentiment est encore là, unique, des dizaines d'années plus tard, et aussi le lendemain, après une nuit qui aurait pu l'affadir et le transformer en bon souvenir.
Ne jamais être indifférente, même au risque de la blessure, toujours écouter, réagir, montrer que l'on sent.
Ne jamais être indifférente, même au risque de la blessure, toujours écouter, réagir, montrer que l'on sent.
Nota bene: Le premier mari de la Callas s'appelait Giovanni Battista Meneghini.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire