Je viens de lire dans un blog un plaidoyer vibrant pour que Second Life reste un lieu où les lois ne limiteront pas nos possibilités.
Je vois trois éléments de réponse.
Tout d'abord, il faut éviter que Second Life ne devienne pas un endroit où la criminalité réprimée ailleurs puisse s'exercer sans limite. Par exemple que l'absence de régulation des mouvements financiers ne permettent de laver l'argent de la drogue ou des ventes d'armes illégales, ou de permettre le transfert de fonds qui soutiennent le terrorisme international.
Ensuite, il faut éviter Second Life ne deviennent un endroit où des gens sans éducation ou sans expérience acquièrent des valeurs inutilisables dans le monde réel ou apprennent des pratiques qui transposées dans leur vie quotidienne, entraîneraient pour eux ou leurs proches des dommages importants. La prostitution transmet des valeurs sur la femme et sur le corps humain qui ne sont pas compatibles avec la liberté et le droit au bonheur [modifié après mise en ligne pour clarifications]. L'inclusion d'enfants dans des échanges sexuels d'adultes détruit la capacité de bonheur de ces enfants pour le reste de leur vie. De plus, des pratiques sexuelles possibles dans Second Life ne sont pas transposables sans grands dangers dans la réalité physique. On peut au moins réfléchir à des méthodes pour diminuer les risques encourus par les visiteurs non avertis.
Enfin, Second Life est un laboratoire à beaucoup d'aspects. L'échec de ce laboratoire découragerait de nombreux participants qui se retireraient avec leurs ressources matérielles et intellectuelles, laissant Second Life devenir un terrain vague habité par quelques rats et clochards, une impasse, et sa technologie sans développement. Il veut mieux que l'introduction des lois soit testée plutôt que cette zone du Net avec les possibilités qu'elle offre ne soit tenue injustement à l'écart des progrès que ces lois pourraient apporter.
Nous aurons toujours nos espaces de liberté car notre imagination est sans limites.
Je vois trois éléments de réponse.
Tout d'abord, il faut éviter que Second Life ne devienne pas un endroit où la criminalité réprimée ailleurs puisse s'exercer sans limite. Par exemple que l'absence de régulation des mouvements financiers ne permettent de laver l'argent de la drogue ou des ventes d'armes illégales, ou de permettre le transfert de fonds qui soutiennent le terrorisme international.
Ensuite, il faut éviter Second Life ne deviennent un endroit où des gens sans éducation ou sans expérience acquièrent des valeurs inutilisables dans le monde réel ou apprennent des pratiques qui transposées dans leur vie quotidienne, entraîneraient pour eux ou leurs proches des dommages importants. La prostitution transmet des valeurs sur la femme et sur le corps humain qui ne sont pas compatibles avec la liberté et le droit au bonheur [modifié après mise en ligne pour clarifications]. L'inclusion d'enfants dans des échanges sexuels d'adultes détruit la capacité de bonheur de ces enfants pour le reste de leur vie. De plus, des pratiques sexuelles possibles dans Second Life ne sont pas transposables sans grands dangers dans la réalité physique. On peut au moins réfléchir à des méthodes pour diminuer les risques encourus par les visiteurs non avertis.
Enfin, Second Life est un laboratoire à beaucoup d'aspects. L'échec de ce laboratoire découragerait de nombreux participants qui se retireraient avec leurs ressources matérielles et intellectuelles, laissant Second Life devenir un terrain vague habité par quelques rats et clochards, une impasse, et sa technologie sans développement. Il veut mieux que l'introduction des lois soit testée plutôt que cette zone du Net avec les possibilités qu'elle offre ne soit tenue injustement à l'écart des progrès que ces lois pourraient apporter.
Nous aurons toujours nos espaces de liberté car notre imagination est sans limites.
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