La gare que je traverse tous les matins pour me rendre au travail consiste en un long couloir sous les voies. De larges escaliers rejoignent les voies de part et d'autre du couloir.
Un monsieur balayait les marches d'un de ces escaliers, méthodiquement, de droite à gauche. Armé d'un long balai, il repoussait d'un geste égal la poussière le long d'une marche. On pouvait deviner en voyant les marches au dessus de lui comment ils les avaient nettoyées et comment il nettoierait les suivantes, avec ce même geste et cette précision qu'il avait utilisés pour les précédentes. Il semblait être là de toute éternité et sans aucun doute, les escaliers étaient propres.
Mais ces images ne me sont venues que maintenant, alors que j'écris ce texte. Vous qui inlassablement parcourez les grands espaces de Second Life et partagez mes visions, vous savez ce que j'ai vu.
Un monsieur balayait les marches d'un de ces escaliers, méthodiquement, de droite à gauche. Armé d'un long balai, il repoussait d'un geste égal la poussière le long d'une marche. On pouvait deviner en voyant les marches au dessus de lui comment ils les avaient nettoyées et comment il nettoierait les suivantes, avec ce même geste et cette précision qu'il avait utilisés pour les précédentes. Il semblait être là de toute éternité et sans aucun doute, les escaliers étaient propres.
Mais ces images ne me sont venues que maintenant, alors que j'écris ce texte. Vous qui inlassablement parcourez les grands espaces de Second Life et partagez mes visions, vous savez ce que j'ai vu.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire